La migration peut être une source d’autonomisation pour les femmes et les filles migrantes, mais celles-ci peuvent aussi être particulièrement vulnérables aux violences, aux abus et à l’exploitation sexuelles.

La migration peut être une stratégie d’adaptation aux changements climatiques et un moyen de renforcer la résilience.

Combattre la dégradation des écosystèmes marins et costaux et diversifier les moyens d’existence des communautés dépendant des ressources maritimes peuvent contribuer à répondre aux migrations et déplacements forcés.

L’éducation peut aider à l’intégration socio-économique des enfants migrants et améliorer leurs moyens d’existence une fois adultes.

Les migrants contribuent à la prospérité des villes et participent à en faire des lieux de vie vibrants et des centres économiques florissants.

La déforestation, la dégradation des sols, la désertification et la perte de biodiversité peuvent avoir un impact profond sur les communautés dont les moyens d’existence reposent sur les ressources naturelles, et peuvent donc être des vecteurs de migration.

Les pénuries d’eau et les problèmes qui y sont liés peuvent impacter les conditions de vie, l’accessibilité des ressources alimentaires et la santé, qui en retour peuvent être des vecteurs de migration.

La gouvernance efficace des migrations est vitale pour garantir la possibilité d’une migration plus sûre, plus ordonnée et régulière.

Les solutions énergétiques alternatives bon marché peuvent bénéficier aux communautés déplacées ou vulnérables ayant un accès limité voire aucun accès à l’électricité.